Grève de la prescription ou retraite anticipée des prescripteurs ?
Les preuves sont désormais nombreuses concernant la protection d’organes des classes médicamenteuses agonistes des récepteurs au GLP-1 (AR GLP-1) et inhibiteurs des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (iSGLT2). La place de ces molécules dans la stratégie thérapeutique ne cesse d’évoluer, avec de nouvelles indications et leur remboursement, même hors champ du diabète pour ce qui concerne l’insuffisance cardiaque et la maladie rénale chronique. Alors, comment expliquer le retard à prescrire ces traitements chez les patients qui pourraient en tirer un bénéfice clinique significatif, un évitement des complications, une réduction de la morbi-mortalité liée au diabète ? Poids des habitudes, inertie, crainte des effets secondaires ou de la nouveauté tout simplement. Sans doute un peu de tout cela. Pourtant ce numéro fait encore une place de choix à l’efficacité de ces traitements, notamment en néphrologie.
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