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Publié le 02 nov 2017

L’exénatide retard améliore les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson

Patrice DARMON, Marseille

Parmi les molécules ayant démontré des effets neuroprotecteurs in vitro ou chez l’animal, aucune n’a fait la preuve à ce jour d’être capable d’induire un ralentissement de la progression de la maladie de Parkinson. La dernière molécule candidate en date est bien connue des diabétologues, puisqu’il...

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